Mercredi, 19 janvier 2022

Lors de la conférence de presse tenue ce matin à 11h00 à Lausanne, le parti vert’libéral vaudois a présenté aux journalistes ses 3 candidates et candidat au Conseil d’Etat.

La conférence a débuté dans un souffle d’optimisme avec le mot de bienvenue de Claire Richard, présidente du parti. Cette dernière a relevé le clin d’œil du lieu de la conférence – le Lapin Vert – à notre parti. C’est dans une ambiance détendue que Graziella Schaller, Jerome de Benedictis et Cloé Pointet se sont tour à tour présentés. Les 3 candidats ont alterné réponses aux questions et messages politiques, le tout géré par le modérateur, Jean-François Chapuisat, vice-président du parti.

Avant de se rendre à la conférence de presse, les 3 candidats au Conseil d’Etat sont allés déposer leur dossier de candidature au Bureau cantonal, rue Cité Derrière.

 

Graziella Schaller a choisi les Vert’libéraux car le slogan « l’écologie qui fait envie » l’a séduite dès son entrée en politique et elle y adhère toujours autant aujourd’hui, ainsi qu’aux valeurs du programme : la protection du climat, sortir du nucléaire, une économie libérale et locale, la formation, l’innovation comme moteur du changement, la lutte contre le gaspillage et la durabilité. Pour elle, en tant qu’économiste, il est évident que l’économie et la protection du climat vont de pair.

Ce que Graziella apprécie par-dessus tout dans le parti vert’libéral qu’elle a rejoint dès sa création en 2010, et plus particulièrement avec ses membres, ce sont leur cohérence, leurs idées qu’ils appliquent dans leur vie quotidienne, leur simplicité et humanité. Elle partage le crédo du parti : former, sensibiliser, encourager, responsabiliser. Graziella aime travailler avec les Vert’libéraux et elle apprécie l’ambiance sympathique qui règne entre les membres, avec lesquels le débat est toujours enrichissant.

 

Graziella, imaginant qu’elle a terminé sa 1ère législature au gouvernement, en 2027, serait fière d’avoir agi et d’avoir avancé dans la protection environnementale. Par exemple, la durabilité serait acquise dans toute l’administration, ainsi que dans les écoles, par de la formation dès les petites classes où la durabilité ferait partie de toutes les branches qui sont enseignées et pour tous les enseignants de la HEP. Les Vaudois fonctionneraient avec le regard durable, qu’ils appliqueraient tant dans leur vie professionnelle que privée.

Ensuite, l’assainissement énergétique des bâtiments de l’Etat et de sa caisse de pension serait réalisé à 50% et ils seraient chauffés par des énergies renouvelables. De nombreux propriétaires et gérances auraient suivi la même voie pour les bâtiments locatifs engendrant également des économies.

Puis finalement, voyant son pare-brise de voiture – électrique – à nouveau constellé de moustiques, elle se réjouirait de constater que la biodiversité s’est améliorée dans le Canton grâce à une forte augmentation de la culture biologique et à une importante diminution de la pollution lumineuse.

 

A la question de savoir pourquoi partir à 3 candidats au Conseil d’Etat, Graziella explique que cela permet de toucher des profils d’électeurs potentiels différents, de montrer la diversité des personnalités et de leurs compétences, de donner le choix aux électeurs, et surtout que la motivation est grande d’être une équipe qui va gagner.

 

 

Jerome De Benedictis explique qu’il se présente en politique en général et plus particulièrement au Conseil d’Etat, car il bénéficie de 8 ans d’expérience dans un exécutif et, durant cette période, il a eu la chance d’engranger une énorme expérience dans un exécutif.

Il porte de nombreux projets liés aux enjeux climatiques, financiers, d’agglomération et scolaires.

 

Il a une passion pour la politique et celle qu’il exerce est une politique différente : une manière très humaine de faire de la politique. Il veut offrir aux Vaudois une vraie opportunité de verdir, de moderniser et de donner du sens à leurs bulletins de vote.

Au bilan en 2027, Jerome serait très fier d’avoir réussi à donner aux Vaudois l’envie d’être durables, la compréhension des enjeux climatiques et une certaine sérénité dans tout ce qu’ils mettent en œuvre pour que notre planète puisse vivre convenablement ainsi que les générations suivantes.

Il serait fier d’avoir fait partie d’un Conseil d’Etat qui a su convaincre par l’exemplarité de sa politique dans l’incitation et en montrant la voie. Il aurait, avec le collège exécutif, dépensé les CHF 300 millions dédiés au développement durable dans des projets intelligents, dans la transition écologique et les énergies renouvelables, tous ces efforts auraient permis d’éviter la construction d’une nouvelle centrale nucléaire.

Finalement, Jerome souhaite que tout ce vent d’optimisme qui souffle aujourd’hui, ainsi que les nombreuses idées et la motivation se ressentent dans la campagne des 3 candidats et dans la manière dont ils porteront et porteraient leur politique au Conseil d’Etat.

 

A la question de savoir pourquoi Jerome a choisi les Vert’libéraux, il répond que le jour où il a décidé de faire de la politique et de s’y investir, il a cherché un parti progressiste et novateur et qui aie une dimension durable dans toutes ses décisions. Et toutes les valeurs progressistes et novatrices qu’il a trouvées, tant politiques que humaines, sont incroyables au sein des Vert’libéraux, qui allient respect, bonne entente, super ambiance, et des personnalités exceptionnelles. Pour toutes ces raisons il a choisi les Vert’libéraux et il ressent une fierté immense de porter son équipe au Conseil d’Etat.

 

 

Cloé Pointet s’est intéressée dès l’âge de 14 ans à la politique, puis elle a choisi de s’engager avec passion car en tant que jeune, elle considère très important de participer aux décisions d’aujourd’hui qui impacteront la vie de demain. Elle a toujours eu une grande sensibilité environnementale et a trouvé par la politique le moyen d’apporter le changement qu’elle souhaite.

Cloé a choisi les Vert’libéraux car ce parti correspond le plus à ses valeurs. En effet, les défis climatiques d’aujourd’hui sont une opportunité d’innover, de mettre à contribution notre intelligence collective et notre créativité pour développer des solutions pragmatiques et de montrer que nous sommes capables d’évoluer.

 

En se projetant en 2027, Cloé serait fière de la mise en place d’un plan de développement de la multimodalité, ainsi que ses 1ères mesures afin de considérer la mobilité dans son ensemble au sein du Canton, très hétérogène, et en apportant une solution adéquate dans chaque région. A terme, avec les outils numériques mis à disposition, chacun pourrait se déplacer de manière efficiente sans se préoccuper du comment tout en étant assuré de limiter son impact environnemental. D’autres infrastructures seraient également prévues dans ce plan et appelées à être mises en place dans les années à venir.

Par exemple, le parking d’échange de Bercher aurait été mis en place, couplé à l’augmentation de la fréquence des LEB. Il rapprocherait ainsi le Gros-de-Vaud de Lausanne tout en diminuant le nombre de voitures qui accéderaient à cette dernière.

Ce plan contiendrait également le concept de véhicules partagés, de location de vélo ou voiture pour effectuer les 10% de son trajet, impossible à faire autrement, les 90% étant réalisés en transports publics.

Cette législature démontrerait que des solutions pragmatiques ont été mises en place pour réduire nos émissions et que la transition écologique est à portée de main.

 

A la question de savoir si 23 ans ce n’est pas un peu jeune, Cloé répond se l’être maintes fois posée et l’avoir entendue très souvent. Elle pense pouvoir apporter de la fraîcheur, du dynamisme et des idées un peu disruptives. Le fait d’avoir peu d’expérience lui permet de ne pas rester enfermée dans un cadre trop strict et elle se sent complètement concernée par les défis d’aujourd’hui car ils ont une influence directe sur la vie qu’elle aura dans 20 ans.

 

Le parti vert’libéral vaudois soutient avec optimisme ce ticket composé de 3 candidats aux personnalités, formations et expériences variées et complémentaires, dans la ligne des valeurs vert’libérales.

Le parti soutient également avec enthousiasme les listes des 129 des candidates et candidats aux élections au Grand Conseil dans les arrondissements et sous-arrondissements du Canton.